Nouan-le-Fuzelier,
en latin Noemium, est un gros bourg du département de Loir-et-Cher, de l'arrondissement de Romorantin, du canton de Lamotte-Beuvron. L'étendue du territoire de la commune, l'une des plus grandes de la Sologne, est de 8.850 hectares.
Cinq rivières ou ruisseaux traversent ou prennent leur source dans la commune : celle du Néant qui se jette dans le Beuvron ; celles des Bouillon et du Viénin (ou de la Treille), ainsi appelée parce qu'elle passait autrefois près d'une auberge de ce nom ; ces deux dernières rivières, après un très court parcours, vont grossir le Néant. Le ruisseau le Méant, prend sa source au déversoir de l'étang de la Sauvagère de Malvaux sur la commune de Pierrefitte-sur-Sauldre. Il rentre dans la commune au niveau de Chanseau. La cinquième, la Guide, ressemble plus à un ru, c'est même à son origine un fossé qui draîne les plaines de Gros-Bois. Il devient limite de commune avec Lamotte-Beuvron, en arrivant à la ferme de la Gerbe.
Origine de "Le Fuzelier"
Pour information : deux livres sur notre village vous aideront à le découvrir plus en détails.
Pourquoi cette seule période ? Avec, peut-être, le petit espoir d'avoir le temps de prolonger ses recherches vers le 1er empire, les régimes qui l'ont précédé, la "Révolution". Il a trouvé sur place à la Mairie, dans les écoles, au presbytère, chez les Nouanais, un ensemble de documents très évocateurs, laissant peu de choses dans l'ombre, se réservant toute latitude pour se rendre aux Archives départementales ou orléanaises en quête de renseignements complémentaires.
Chaque jour, de découverte en découverte, son champ de recherches s'est étendu, le XIXe siècle à Nouan-le-Fuzelier, pourtant modeste village, ayant été fertile en événements de toutes sortes : humains, politiques, économiques, sanitaires, culturels... Ce qui explique la diversité des chapitres. Jean Piat remercie chaleureusement toutes celles et tous ceux qui, à divers titres, l'ont aidé.